lunes, 14 de noviembre de 2016

Debout sur le Zinc - Te promettre la lune


J'aimerais tant te promettre la lune

Je ne connais rien
De toi, de nos chemins
Je te parle comme ça
Par peur d'être sourd
Muet, quand mon tour viendra

Comme je t'imagine
En jupe ou en jean
Te jetant dans mes bras
Se dessinent au loin
Les nuits qui n'en finissent pas

J'aimerais tant te promettre la lune
Mais la lune est déjà prise
Livrer pour toi les clés de la fortune
Dans un monde un peu paisible


Et si je me fatigue
À trop vouloir gagner
Je n'ai rien à t'offrir
Tu n'es pas encore né(e)

Je te parlerais de ma vie
Comme elle peut faire envie
Et décevoir souvent
Comment s'enchaînent
Les joies les douleurs, tout l'temps

Je te parlerais de celle
Qui m'a pris sous son aile
Sans que je sache comment
Celle que tu appelleras
Un jour ou l'autre Maman

Refrain

Mais les hommes se fatiguent
À trop vouloir gagner
Rêver ne vaux pas vivre
Tu n'es pas encore né(e)

Mais rien de tout cela
Dans la chambre du bas
Où résonne à peine
Le bruit de mes pas
Juste une frise au mur
Et un mobile qui ne tourne pas

Et j'évoque malgré moi
Le vide d'ici-bas
Tout ce qui sans toi ne m'intéresse pas
Je soigne mes blessures
Je sais... que tu me viens déjà

Refrain
Te amaría tanto que te prometo la luna

No se nada
de ti, de nuestros caminos
Te hablo así
Por miedo a estar sordo,
mudo, cuando llegue mi turno.

Como yo te imagino
con falda o en vaqueros
Lanzarte a mis brazos.
Se dibujan a lo lejos
Las noches que no tendrán fin.

Te amaría tanto que te prometo la luna
pero la luna ya está tomada
Te confía a ti las llaves de la fortuna
en un mundo poco apacible


Y si me canso
de querer ganar demasiado,
no tengo nada que ofrecerte
ni siquiera has nacido.

Te hablaré de mi vida
Como ella puede dar envidia
y decepcionar de repente
Como se enlazan
las alegrías y el dolor todo el tiempo.

Te hablaré de ella
que me ha tomado bajo su ala
Sin que sepa cómo,
Aquella a la que llamarás,
uno u otro día, mamá.

Estribillo.


Pero si los hombres se cansan
de querer ganar demasiado
Soñar no equivale a vivir
Ni siquiera has nacido.

Pero nada de todo esto
en la habitación de abajo
donde apenas resuena
el ruido de mis pasos
Solo una cenefa en la pared
y un móvil que no da vueltas

Y evoco a mi pesar
la vida de aquí abajo
Todo lo que sin ti no me interesa
Cuido mis heridas
Sé... que ya vienes

Estribillo

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