Je t'imagine Depuis le siège 87 Je t'imagine Choisir la place côté fenêtre Je t'imagine Râler si l'on prend du retard Je t'imagine Rire avec moi dans le wagon-bar J'nous imagine Depuis le bord de ma fenêtre J'nous imagine
Je tire des plans sur la comète
J'nous imagine
Et quand passe le contrôleur
Je te souris, je suis en règle
Le genre de gars toujours à l'heure
Je ne sais vraiment plus
Où le train nous mène
Je ne vois vraiment plus
Rien qui me retienne
Mais je ne sais plus
Où tout ça me mène
Elle ne m'a pas vu
Et le train l'entraîne (x2)
J'nous imagine
Beaux, bio, bateau, super bobos
J'nous imagine
Zen, hippie, hypper happy
J'nous imagine
Sereins, vacances au Canada
J'nous imagine
C'est rien, galères de fin de mois
J'nous imagine
Jeunes, festivals à l'arrache
J'nous imagine
Djeuns, et toujours à la page
Quand j'imagine
Toujours, t'es belle, tu vieillis pas
Et j'imagine
J'exagère on ne se connait même pas
Refrain
J'nous imagine
Adroits, à deux sur les montagnes
J'nous imagine
À trois, heureux à la campagne
J'nous imagine
À quatre, entre nos quatre murs
Et je balise
En fait je n'en suis plus très sûr
J'nous imagine
Couple de première classe qui claque
Et j'imagine
Cool, mon numéro dans ton sac
J'nous imagine
Loin de ce train-train-train
Et j'imagine
Deux secondes que je vais peut-être un peu trop loin
Mais je ne sais plus
Où tout ça me mène
Elle ne m'a pas vu
Et le train l'entraîne (x2)
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Te imagino Desde el asiento 87 Te imagino Elegir el sitio más próximo a la ventana Te imagino Refunfuñar si vamos con retraso Te imagino Reír conmigo en el vagón-bar Nos imagino Desde el borde de mi ventana Nos imagino Hago castillos en el aire Nos imagino Y cuando el controlador pasa Te sonrío, estoy en regla El tipo de tío siempre puntual Realmente no sé A dónde nos lleva el tren Realmente no veo nada que me retenga Pero no sé Dónde me lleva todo esto Ella no me ha visto Y el tren la lleva Nos imagino Bonitos, natural, cuento chino, superbobos Nos imagino Zen, hippie, hiperfelices Nos imagino Serenos, vacaciones en Canadá Nos imagino No es nada, un fin de mes complicado Nos imagino Jóvenes, salir de festivales Nos imagino En ayunas, y siempre al día Cuando te imagino Siempre eres hermosa, no envejeces E imagino Exagero, ni siquiera nos conocemos Estribillo Nos imagino Hábiles, a ambos en la montaña Nos imagino A los tres, felices en el campo Nos imagino A los cuatro, entre nuestras cuatro paredes Y tengo miedo De hecho, no estoy muy seguro Nos imagino Una pareja en primera clase que da un portazo E imagino Tranquilo, mi número en tu bolso Nos imagino Lejos de este tren E imagino Dos segundos, que quizá estoy yendo un poco demasiado lejos Pero no sé Dónde me lleva todo esto Ella no me ha visto Y el tren la lleva (x2) |
domingo, 22 de mayo de 2016
Boulevard des airs - J'nous imagine
Boulevard des airs - San Clemente (Je Voulais vous parler des femmes)
J'voulais placer le mot « ruelle » J'voulais vous parler un peu d'elle J'voulais écrire, sur un bout d'table Dans un salon d'la rue des arts Et déchirer ce bout de nappe Sous le regard de bande appart Et en finir avec l'ambition Cracher, bourré mes convictions Et j'voulais vous parler des femmes Et de Godard, et leur parfum De 68, que l'on condamne Du mois d'octobre 61 (x2) Mais on r'fait pas les Amériques En écrivant ce genre de choses Fallait choisir la chose publique Y'a peu de public à la prose Et entre nous, mon choix est fait Et entre nous, mon choix est fait Et jamais je ne choisirai Entre la bannière et la rose Refrain (x2) Je voulais vous parler d'la misère J'voulais vous parler d'la folie D'un traitement sécuritaire De pardon et de l'oubli Esclave et aliéné De la cause à la déraison Attendant quelque chose Qui s'produira pourtant jamais Refrain |
Quisiera ubicar la palabra "callejón" Quisiera hablaros un poco de ella Quisiera escribir, en un rincón de la mesa En un salón de la calle de las artes Y rasgar el borde del mantel Bajo la mirada de una cuadrilla apartada Y terminar con la ambición, Escupir, emborrachar mis convicciones. Y quisiera hablaros de las mujeres Y de Godard, de su perfume Del 68 que condenamos Del mes de octubre del 61 (x2) Pero no reconstruiremos América Escribiendo este tipo de cosas Hay que elegir las cosas públicas Hay poco de público en la prosa Y entre nosotros, mi elección está hecha Y entre nosotros, mi elección está hecha Y jamás elegiré Entre la bandera y la rosa Estribillo (x2) Quisiera hablaros de la miseria Quisiera hablaros de la locura Del tratamiento de seguridad Del perdón y el olvido Esclavo y alienado a la causa de la sin razón Esperando algo Que jamás llegará. Estribillo. |
jueves, 19 de mayo de 2016
La rue Kétanou - Les hommes que j'aime
Je voudrais vous parler des hommes que j'aime Ceux qui m'ont embrassés au bord de la Seine Où j'allais me jeter, jeté par une reine Que j'avais aimé plus que les hommes que j'aime. Ils ont des gueules cassés, il faut les voir au petit jour Se coucher tout étonné du monde qui les entoure Ils volent, ils viennent, ils trainent, ils parlent fort, ils ne parlent pas Ils entendent des Carmen qui leur disaient: viens par là! Et chaque fois ils y vont, et chaque fois ils en reviennent Entre un ange et un démon, ainsi j'aime les hommes que j'aime Refrain Ce sont des géants qui savent le chagrin d'amour Des amitiés de survivants qui fêtent votre retour Et quand passe un drame et que l'un de nous il touche On se donnent des prénoms de femmes et on s'embrasse sur la bouche. Mon dieu, c'est mon tour, j'vis au bord de la Seine Je cris au secours, ainsi m'aiment les hommes que j'aime. Refrain. Et je lève mon coeur à la tendresse de ces voyou, qu'elle me porte bonheur, ce soir j'ai rendez vous Et j'irais comme je suis, non je ne changerez rien, Acte mes folies, a mon feu dans mes mains A mon amour sans pudeur, a mon amoure qui se déchaine Et même ça fait peur, ainsi aime les hommes que j'aime. Refrain (x2) |
Me gustaría hablaros de los hombres que amo
Aquellos que me han besado en la orilla del Sena Donde había ido a arrojarme, loco por una reina Que había amado más que a los hombres que amo. Ellos tienen la boca rota, hace falta verlos al alba Acostarse asombrados del mundo que les rodea. Vuelan, vienen, se arrastran, hablan alto, no hablan Escuchan Carmen, que les dice: ¡Venid aquí! Y cada vez que van, y cada vez que vuelven Entre un ángel y un demonio, así quiero a los hombres que amo Estribillo Son los gigantes que conocen el mal de amores La amistad de los supervivientes que celebran vuestro regreso. Y cuando ocurre una tragedia y nos toca a alguno de nosotros Intercambiamos los nombres de las mujeres y nos besamos en la boca. Dios mío, es mi turno, he visto la orilla del Sena He gritado socorro, así me quieren los hombres que amo. Estribillo Y levanto mi corazón al afecto de esos granujas que me traiga suerte, esta tarde tengo una cita e iré tal y como soy, no cambiaré nada, ni todas mis locuras ni el fuego de mis manos ni mi amor sin pudor ni mi amor que se desencadena. E incluso si tengo miedo, así aman los hombres que amo. Estribillo (x2) |
miércoles, 18 de mayo de 2016
La rue Kétanou - Ma faute à toi
J'ai besoin encore et toujours J'ai besion d'entrer chez une femme D'en sortir au petit jour Avec un peu moins de flammes Dans les yeux Quand je te regarde Car notre amour à tous les deux Y'a que moi qui le garde J'ai besoin d'entrer chez une femme Chez une autre que toi Toi t'as perdu ma flamme Ma flamme qu'était pour toi J'ai besoin de t'oublier Ne pas te reconnaître Partout où je vais J'ai besoin de renaître J'ai besoin de vivre De vivre devant moi Ceux qui m'aiment me suivent Je sais toi tu restes là J'ai besoin d'aimer Je ne sais rien faire d'autre J'ai besoin d'aimer Et c'est pas ta faute C'est ma faute à toi Toi qu'est trop belle Toi t'est trop belle pour moi Et les belles, elles sont cruelles Pour ceux qui les veulent Pour ceux qui les ont pas Pour ceux qui sont tout seul Pour ceux qui ne savent pas Pour ceux qui marchent des heures Et qui vont nulle part Pour ceux qui boivent Pour ceux qui ne dorment pas Pour ceux qui chantent Qui chantent Pour ceux qui chantent Qui chantent pour toi (x2) |
Necesito ahora y siempre Necesito entrar en la casa de una mujer Salir de allí al amanecer Con un poco menos de pasión En los ojos Cuando te miro Pues nuestro amor, el de ambos Soy yo quien lo guardo Necesito entrar en casa de una mujer En la de una que no seas tu Tú te has perdido mi amor Mi amor que era para ti Necesito olvidarte No reconocerte Donde quiera que vaya Necesito renacer. Necesito vivir Vivir ante mi Los que me aman me siguen Se que tú te quedas ahí Necesito amar No sé hacer otra cosa Necesito amar Y no es culpa tuya. Es mi culpa Tú eres demasiado bella Tú eres demasiado bella para mi. Y las bellas son crueles Para aquellos que las quieren Para aquellos que no las tienen Para aquellos que están solos Para aquellos que no saben Para aquellos que dejan pasar las horas Y no van a ninguna parte Para aquellos que beben Para aquellos que no duermen Para aquellos que cantan Que cantan Para aquellos que cantan Que cantan por ti (x2) |
Indila - Dernière Dance
Oh ma douce souffrance Pourquoi s'acharne tu r'commences Je ne suis qu'un être sans importance Sans lui je suis un peu «paro» Je déambule seule dans le métro Une dernière danse Pour oublier ma peine immense Je veux m'enfuir Que tout r'commence Oh ma douce souffrance Je remue le ciel, le jour, la nuit Je danse avec le vent, la pluie Un peu d'amour, un brin de miel Et je danse, danse, danse, danse, danse, danse, danse Et dans le bruit, je cours et j'ai peur Est-ce mon tour? Revient la doleur... Dans tout Paris, je m'abandonne Et je m'envole, vole, vole, vole, vole, vole, vole Que d'espérance... Sur ce chemin en ton absence J'ai beau trimer, sans toi ma vie N'est qu'un décor qui brille, vide de sens Refrain Dans cette douce souffrance Dont j'ai payé toutes les offenses Écoute comme mon coeur est immense Je suis une enfant du monde Refrain |
Oh, mi dulce tormento
¿Por qué vuelves a ensañarte? Tan solo soy un ser sin importancia Sin él, soy un poco paranoica. Vago sola por el metro Un último baile Para olvidar mi inmensa pena Quiero huir Que todo vuelva a empezar Oh, mi dulce tormento. Remuevo el cielo, el día, la noche Bailo con el viento, la lluvia Un poco de amor, un poco de miel Y bailo, bailo, bailo, bailo, bailo, bailo, bailo. Y en el ruido corro y tengo miedo ¿Este es mi turno? Vuelve el dolor... Por todo París, me abandono Y levanto el vuelo, vuelo, vuelo, vuelo, vuelo, vuelo, vuelo. Sin esperanza... En este camino, con tu ausencia He trabajado duro, sin ti mi vida no es más que un brillante decorado, vacío de sentido. Estribillo En este dulce tormento en el que he pagado todas las ofensas escucho lo inmenso que es mi corazón Soy una niña del mundo. Estribillo. |
martes, 17 de mayo de 2016
Zaz - On ira
On ira écouter Harlem au coin de Manhattan
On ira rougir le thé dans les souks à Amman On ira nager dans le lit du fleuve Sénégal Et on verra brûler Bombay sous un feu de Bengale On ira gratter le ciel en dessous de Kyoto
On ira sentir Rio battre au cœur de Janeiro
On lèvera nos sur yeux sur le plafond de la chapelle Sixtine
Et on lèvera nos verres dans le café Pouchkine.
Oh qu'elle est belle notre chance
Aux milles couleurs de l'être humain
Mélangées de nos différences
A la croisée des destins
Vous êtes les étoiles nous somme l'univers
Vous êtes en un grain de sable nous sommes le désert
Vous êtes mille phrases et moi je suis la plume
Oh oh oh oh oh oh oh
Vous êtes l'horizon et nous sommes la mer
Vous êtes les saisons et nous sommes la terre
Vous êtes le rivage et moi je suis l'écume
Oh oh oh oh oh oh oh
On dira que le poètes n'ont pas de drapeaux
On fera des jours de fête quand on a deux héros
On saura que les enfants sont les gardiens de l'âme
Et qu'il y a des reines autant qu'il y a de femmes
On dira que les rencontres font les plus beaux voyages
On verra qu'on ne mérite que ce qui se partage
On entendra chanter des musiques d’ailleurs
Et l'on saura donner ce que l'on a de meilleur
Refrain (x2)
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Iremos a escuchar Harlem en la esquina de Manhatan
Iremos a teñir de rojo el té en los zocos de Amán Iremos a nadar en el lecho del río Senegal Y veremos arder Bombay bajo los fuegos artificiales Iremos a arañar el cielo debajo de Kyoto Iremos a sentir el río que late en el corazón de Janeiro Alzaremos nuestros ojos al techo de la capilla sixtina Y levantaremos nuestros vasos en el café Pouchkine. Oh, ¡qué bella es nuestra suerte los mil colores del ser humano, mezcladas nuestras diferencias en el cruce de destinos! Sois las estrellas, somos el universo sois un grano de arena, somos el desierto sois mil frases y yo soy la pluma oh oh oh oh oh oh Vosotros sois el horizonte y nosotros somos el mar Sois las estaciones y nosotros la tierra sois la orilla y yo soy la espuma oh oh oh oh oh oh oh Diremos que los poetas no tienen bandera Tendremos días de fiesta cuando haya dos héroes Sabremos que los niños son los guardianes del alma Y que hay tantas reinas como mujeres. Diremos que los encuentros hacen más hermosos los viajes. Veremos que solo merecemos lo que se comparte Escucharemos cantar música de lugares lejanos Y sabremos dar lo mejor de nosotros Estribillo (x2) |
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